dimanche 29 mars 2020
Covid-19, Sa Majesté MEYONG BIZOLE JEAN CLAUDE, déplore la passivité des chercheurs africains.
l’Afrique ne jouera plus seulement le rôle d’observateur , car avec désormais la présence de la pandémie du covid 19 , elle est appelée à jouer sa partition comme un acteur majeur afin de tordre le cou au Corona virus qui a réussi à se faire importer sur ses terres.
La recherche africaine est somnolente et refuse toujours de se mettre en branle . Ce en croisant les bras, pour jouer les spectateurs et applaudir naïvement et honteusement les prouesses de la recherche occidentale , orientale et bien d’autres. Pourtant, l’Afrique est un Creuset, où réside le nid de plusieurs molécules gracieusement utilisées pour développer les recherches et aboutir à des solutions concrètes et adaptées aux différents besoins exprimés dans le cadre de la science en général. Le chercheur camerounais dont plusieurs œuvres ont été spoliées et chèrement placées à l’international à travers plusieurs prix remportés, ne comprends pas comment la richesse des vertus de nos grandes forêts Africaines n’est bénéfiquement pas exploiter pour booster et donner du galon à la recherche africaine. Le lauréat du grand prix découverte AHMADOU AHIDJO en 1977 sur l’invention de la vidéo projection, croît fermement qu’il y a très peu de volonté de la part des chercheurs africains ,Alors que la nature a donné à l’Afrique tous les moyens pour donner du répondant à ces différentes pandémies. L’homme spirituel, traditionnaliste et chercheur de la première au Cameroun soutient cependant, qu’à l’exemple le VIH SIDA et les hépatites, la recherche africaine a et apporte des solutions conséquentes pour sauver des vies. Le chef de quartier de la cité des enseignants dans l’arrondissement de Douala troisième, s’interroge quand au sort des africains infectés face au refus d’exportation de la chloroquine ,dont les quantités de production devraient nécessairement satisfaire les besoins de l’Occident avant toute éventualité une fois les essais cliniques ayant fait l’unanimité.
Fort est donc de constater que si le climat Africain facilitait la propagation du virus comme dans d’autres continents, l’on ne s’en sortirait point. Pour lui, la forte propagation tient aussi compte du niveau de pollution. On peut citer la Chine ,les États-Unis, et l’Europe qui sont l’épicentre de la pandémie comme les plus pollueurs du monde. Selon ses dires, la recherche africaine en pareille circonstance, avec déjà la barre des 3000 cas franchit,doit pleinement jouer son rôle sans plus attendre que le miracle vienne de l’autre côté. Et c’est de manière anonyme que pendant notre reportage, dans les couloirs de son domicile, nous sommes parvenus à réaliser que celui-ci a réussi il y a quelques jours à développer une molécule pour contrarier cette pandémie au bénéfice de sa famille, que cela draine déjà des foules à son domicile . Interviewer à cet effet, l’homme spirituel a dit être en phase d’expérimentation le temps tout finaliser avant toute communication officielle. Par ailleurs, l’homme a salué les mesures gouvernementales visant à riposter face à la dite pandémie .
JORES ÉLIE TCHABAT