𝐋’𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭...

𝐋’𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐬’𝐢𝐧𝐯𝐢𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐮𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐚̀ 𝐇𝐨𝐮𝐬𝐭𝐨𝐧.
L’Organisation Africaine pour le Développement (OAD), à travers son Représentant Résident aux États-Unis, 𝐌. 𝐖𝐢𝐥𝐥𝐲 𝐕𝐚𝐥𝐝𝐞𝐳 𝐊𝐄𝐍𝐆𝐍𝐄, a marqué une présence remarquée à une session stratégique organisée à la Chambre de Commerce de Houston. Cette rencontre de haut niveau a rassemblé un panel d’experts issus de quatre secteurs stratégiques : 𝐥’𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞 𝐩𝐞́𝐭𝐫𝐨𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞, 𝐥𝐞 𝐏𝐨𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐇𝐨𝐮𝐬𝐭𝐨𝐧, 𝐥’𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞

𝐚𝐞́𝐫𝐨𝐬𝐩𝐚𝐭𝐢𝐚𝐥𝐞 (𝐍𝐀𝐒𝐀) 𝐞𝐭 𝐥’𝐢𝐧𝐠𝐞́𝐧𝐢𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐜𝐚𝐥𝐞.
Sous la modération du magistrat municipal de Houston, les échanges ont porté sur les opportunités de coopération et d’intégration économique offertes par ces secteurs. L’événement a également vu la participation de représentants de chambres de commerce de plus d’une quinzaine de nationalités, témoignant ainsi de l’intérêt international croissant pour l’écosystème économique texan.

𝐑𝐞𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐥’𝐎𝐀𝐃-𝐔𝐒𝐀, 𝐌. 𝐕𝐚𝐥𝐝𝐞𝐳 𝐊𝐄𝐍𝐆𝐍𝐄 a pu échanger notamment avec le Directeur des opérations d’un des géants pétroliers du Texas, acteur majeur du poumon énergétique des États-Unis, ainsi qu’avec la Consule de France à Houston. Ces interactions ont permis de mettre en lumière plusieurs pistes de collaboration future, notamment :
– Le développement de partenariats dans l’exploration pétrolière et les services portuaires ;
– La possibilité d’initier des échanges scientifiques et éducatifs autour des innovations de la NASA ;
– Et surtout, une réforme législative en cours, facilitant l’intégration directe de professionnels médicaux et éducatifs étrangers au marché du travail américain sans passer par les lourdeurs administratives habituelles liées à la reconnaissance des diplômes.
“𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐧𝐞́𝐝𝐢𝐭”, 𝐚𝐟𝐟𝐢𝐫𝐦𝐞 𝐌. 𝐕𝐚𝐥𝐝𝐞𝐳 𝐊𝐄𝐍𝐆𝐍𝐄,précisant qu’un projet de loi est actuellement à l’étude au Sénat américain pour institutionnaliser ce dispositif.

L’OAD voit dans cette rencontre une brèche ouverte vers des collaborations internationales concrètes, avec des retombées potentielles pour les jeunes professionnels africains, les universités partenaires, ainsi que pour les gouvernements désireux d’investir dans des solutions innovantes en matière d’éducation, de santé et de développement industriel.

𝐏𝐚𝐫 Annie TCHOUFFA